"nous danserons les embellies de mai
nous vivrons tous les 3 de mes ramages
les aléas nous chahutent un peu pour voir
c'est trop sérieux je veux pas louvoyer
t'énerve pas mon amour, ça m'angoisse
la galère était envisagée
même la-haut celui qui tourne les pages,
il sait pas
même la haut celui que l'on dit sage,
il sait pas
avec mes chansonnettes alambiquées
j'ai bien du mal à séduire les ménages
je te promets j'y travaille
c'est tout un art
mais les tendances me font toujours l'effet de l'eau qui branle dans les flaques des mirages
c'est salaud de me dire que je stagne, tu sais pas
c'est salaud d'insister sur cette panne de contrat
nous danserons les embellies de mai
si c'est juillet dis-moi, est ce que c'est grave?
sans dec on peut réorganiser tout ça
nous danserons les embellies de mai"
Je ne sais pas si à l'origine cette chanson parle de l'était d'esprit du mois d'avril 1999 de Monsieur Franck Monnet.
Mais elle résume en tous cas parfaitement mon mois d'avril 2009.
Vous pouvez comprendre que ça parle du printemps,
Que ça parle du temps pourri qu'on a en avril,
du beau temps qu'on espère en mai ou au pire en juillet,
Vous pouvez comprendre qu'il est plus difficile de vivre de la chanson que de chanter la vie,
Vous pouvez comprendre que j'en sais rien. et que lui là-haut ne m'aide pas trop à en savoir davantage.
et vous pouvez comprendre un peu ce que vous voudrez... après tout, vous êtes grands.
ps : aujourd'hui c'est vendredi et... non rien.
vendredi 17 avril 2009
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1 commentaire:
ce qui est rassurant avec le temps pourri c'est qu'il précède souvent le meilleur, un peu comme le lundi précède le week end... tout n'est que question de cycles...
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