lundi 28 juillet 2008

ça va mal...


"ça va bien".
non pas que d'habitude ça aille mal, mais là, le problème c'est que ça va vraiment bien.
et pire... ça à l'air de ne pas vouloir s'arrêter.
oh vous savez... le bonheur on sait quand il commence, on ne sait pas quand il s'arrête.
donc mieux vaut sourire que guérir... et s'inquiéter avant qu'il ne s'installe et qu'on ne puisse plus le déloger. Il faut couper le bien à la racine. je vous le dis! vaincre le bien par le bien! aux grands bonheur les grands remèdes!
Non et puis le quotidien devient difficile avec tout ce bien être qui vous envahit. c'est pénible à la longue.
J'en connais certains qui vivent avec, malgré tout, bonant bonant... même si le regard des autres n'est pas toujours facile à porter tous les jours, c'est vrai. mais ils font face.
et c'est seulement de loin, et avec un brin de tendresse et de nostalgie, voir de regrets... qu'ils ont une pensée pour ces moments de tristesse désormais lointaines...
haa les crises de larmes et les sanglots!
haaa les doutes existentiels!!
haaaaaa les "je-sais-pas-ce-que-j'ai"
haaaaaaaa les soirées passées à picoler pour oublier ce dont tu vas vite te rappeler le lendemain avec une migraine en plus...

je suis à deux doigts d'avoir envie de faire du sport... c'est dire... mais non, faut pas déconner quand même, je ne suis pas en phase terminale...

Alors je fais tout comme le médecin il dit :
je me mets devant mon piano, je me concentre très fort, je pense à pleins de trucs qui font mal, vous savez, comme pour les amnésiques à qui on montre des photos pour leur rappeler des souvenirs... des très anciens, (comme le jour où ma cousine m'a piqué mon pupple's,), des plus récents... et rien... même pas une petite gorge nouée.

rien à sortir,

rien à dégueuler...

merde...

mais je vais raconter quoi moi dans mes chansons?
tout va bien? tout va mal? je viens de voir que barzotti l'a déjà fait. (d'ailleurs si quelqu'un a cette chanson en mp3, je prends!)
plus de peine, plus de douleurs, plus de rancœurs, plus rien à régler....
alors hier soir, je me concentre... bien fort... si je peux pas avoir au moins 3 accords qui sortent un dimanche à 17h... c'est qu'il faut faire quelque chose!

ça partait plutôt bien... j'étais en voie de guérison, je commençais à sentir venir le malaise... et puis pouff... rien. encore ce putain de bonheur qui vient tout gâcher, qui arrive comme un cheveux sur le velouté.

donc tout ça pour vous dire que ma dernière chanson remonte à début juillet.
Que j'ai rien d'autre à vous mettre sous la dent depuis 3 semaines (et c'est rare)

mais de ne surtout pas vous inquiéter, car je prévois d'aller mal très bientôt... oui oui..
"bientôt"... j'ai dis.

jeudi 24 juillet 2008

je vous montre mes p'tits morceaux de sucre?


je crois que j'ai la tête de quelqu'un qui réalise là... ouai... je réalise..






et la vidéo du Mas, une 100 000ème reprise de Léonard Cohen parmi tant d'autres. (avec en bonus, une spectatrice qui adooooooore Jeff Buckley et les cigales qui rentrent à la 2ème minute...)
Une reprise pour toutes les fois où je n'ai pas pu jouer dans les pubs parce que je n'avais que des compos...

la med'cine à couler



Dans la vie, en tous cas, dans la mienne, il y a les rêves, et le rêve.
Les rêves sont ces petits espoirs, ces petites étapes que l’on espère franchir pour atteindre le rêve.
J’appelle ça aussi mes petits « morceaux de sucre », ça m’aide à patienter, et à chaque su-sucre j’ai l’impression d’avancer un peu.
Et ces deux derniers jours j’ai eu 3 su-sucres.


Les 3 sont arrivés par la boite aux lettres. (finalement, je devrais peut être l’ouvrir toutes les semaines…)
2 enveloppes blanches : l’une manuscrite, l’autre estampillée d’une double croche rouge.
Je ne sais pas encore ce qu’il y a dedans mais je sens que ça risque de me plaire… ou pas.
Quoi qu’il en soit, ça me change des enveloppes « trésor public » et en soi, c’est déjà une victoire.


La manuscrite contenait 2 dvd et un brin de lavande fraîchement séchée (et d’un seul coup j’ai eu 5 ans, et je me suis retrouvée sur le siège arrière du taxi de mon grand-père Jo –ça s’invente pas - qui en possédait toujours un brin coincé dans le pare-soleil… et ouai, chacun sa madeleine…)

La deuxième commençait ainsi : Mme mastrorelli, nous avons le plaisir de vous annoncer que votre demande d’admission au sein de la SACEM a bien été prise en compte… et là… ma carte d’adhérent SACEM
Désormais, je fais donc officiellement partie des personnes pour qui, la musique pourrait éventuellement être un métier.

Et je lis donc le premier dvd : la vidéo de mon concert au Mas des Escaravatiers
Et je lis le deuxième : Les photos du concert au réservoir.
Pour résumer : une carte sacem, un souvenir photo d’un concert, un souvenir vidéo d’un autre…
Ce serait presque anodin.
Sauf quand on se pose un instant, après avoir constaté qu’on regardait ça avec un recul presque inquiétant et qu’on repense :

- A un soir de juillet 2006. fatiguée de courir après un ènième pub de la côte qui accepterait une nana au piano qui ne fait pas de reprise, je m’étais mise à recenser les salles parisiennes que j’avais classées dans l’ordre croissant d’accueil potentiel. Le réservoir était le tout dernier, la salle « suprême » pour moi à cette époque. (Rassurez-vous, j’ai maintenant revu le classement à la hausse)

- A un dimanche de juin 2007 sur la plage. Je naviguais du transat au bar et du bar au transat et sur mon chemin, cette affiche : « Le mas des escaravatiers, des concerts uniques dans un lieu privilégié » au programme : Sinclair, Fersen, Bertignac, Babet… Je rêverais d’y jouer en première partie.

- A tous les autres jours de l’année où j’étais honteuse de dire que « non, je ne suis pas à la sacem », et encore plus honteuse de savoir que le dossier d’admission traînait depuis plus de 7 mois dans un des placards du salon.

3 petits rêves se sont donc exaucés, 3 petits rêves qui me mènent un peu plus près du Grand Rêve.
3 petits morceaux de sucres qui me rapprochent du Jambon Beurre…



mardi 22 juillet 2008

radio, vidéo, météo et haribo

Orlando exige le clip, et l'un des Orlando's a donc filmé (Philorlando pour ne pas le citer)
voici donc un extrait en image de mon passage sur France Bleu Azur, comme promis.

sinon que dire... ha oui, bonne nouvelle : vidéo gag est maintenu!
Monsieur le programmateur lit apparemment aussi mon blog, formidable, profitons-en! donc ceci est un appel :
"Laurent, les temps sont durs vous savez pour une "jeune" artiste qui débute. ainsi, je me permets de proposer ma candidature pour un job saisonnier au sein de votre chaîne.
vous trouverez donc juste ici, un extrait de mes qualifications en tant que présentatrice de météo. Espérant que vous donniez suite à ma demande pour un CDD voir un CDI en cas d'échec du plan A, et vous priant d'agréer..blablabla..."

ps : j'ai envie de bonbons, les p'tites boules rouges que jamais personne veut dans les paquets mixtes d'haribo, et du coup y'en a que 3 ou 4 dans le paquet, comme si le mec qui s'occupe de la répartition des bonbons savait qu'ils partaient pas mais en mettait quand même pour l'harmonie des couleurs (ouai, c'est un artiste le répartisseur de bonbecs chez haribo) , même si mes préférés restent les carrés avec réglisse au milieu, mais ils partent toujours en premier. tout ça va finir par un ersatz de crocodile en forme de raquette de tennis, et sans le blanc dessous, voir pire, les réglisses sans couleur ni dedans ni dehors et qui sont même pas en escargots... on devrait jamais finir les paquets de haribo mixte, car on est incapable de garder le meilleur pour la fin.




jeudi 17 juillet 2008

mercredi 16 juillet - réveil 6 h - france bleu azur

hier 9 heures, j'étais l'invitée de la matinale sur France Bleu Azur. Cool....
Dormi très peu, 3 heures à tout casser... mais miracle, je suis à l'heure.
Une demi heure de direct, une demi heure de blabla sans pub ni météo... donc potentiellement une demi heure de bafouilles, lapsus et autres défauts de langages que je connais bien pour pratiquer régulièrement et donc maitriser à merveille...
Je suis fatiguée mais je me concentre. Je n'ai pas écouté l'émission mais en toute honnêteté et sortie de quelques phrases "choc" à grand intérêt type "Cette chanson est sortie comme une envie de faire pipi" ou "j'avais une 5ème corde à ma basse parce que c'était joli mais je ne m'en servais pas", le direct s'est plutôt bien passé.

j'avais tout prévu... j'étais venue avec mon petit caméscope fétiche sous le bras, histoire de vous mettre l'image de la radio avec le son. Mais arrivée sur place, plus de batterie, et à la radio... plus d'électricité et donc plus aucune prise secteur de secours de disponible (ouai... y'a des jours sans).

L'un des Orlando's était avec moi (très vite plus d'info sur les Orlando's en question, qui comme leur nom ne l'indique pas, ne sont pas un nouveau groupe de Rock), et qui comme tout Orlando qui se respecte, ne se sépare jamais de son téléphone/appareil photo/camescope/lecteur de dvd... nous aurons donc les images!! .... un jour...

Et là, durant ce direct, se produit une "première fois"...
c'est toujours important les "premières" d'une vie, car elle ne se produisent qu'une fois et donc, on s'en rappellera toujours.
le premier baiser, le premier chagrin d'amour (à l'exception de celui-ci qu'on aurait justement préféré qu'il ne se produise qu'une fois...), la première cuite, la première scène etc...
et là, ce jour là, j'ai eu "la première fois qu'on passe une de mes chansons à la radio", j'avais bien déjà fait quelques lives à l'antenne durant d'autres émissions.. mais c'était la première fois que j'avais le casque dans les oreilles et que j'entendais la chanson gravée sur mon CD qui passait sur les ondes... wouhaou... qu'est ce qu'elle aurait été fière ma mère si elle n'avait pas oublié d'écouter l'émission!

C'était "Dans la peau"

Et puis j'entends le chroniqueur informer les auditeurs qu'ils peuvent téléphoner pour poser une question...
Surprise, je demande en off si c'est "pour de vrai"... oui oui, "ça arrive qu'on ait un appel" .c'est donc pour de vrai, qu'un vrai auditeur, peut vraiment téléphoner, dans la vraie vie...

Et appel il y a.
Jérôme, qui vient d'entendre le titre à la radio, et qui est tout plein de gentillesse à mon égard.
Il aura juste la parole malheureuse de dire qu'il aimerait bien me voir représenter la france à l'Eurovision...
Parole malheureuse qui me vaut donc ce matin (et à mon avis demain, et après demain et à vie), en arrivant au bureau, le surnom de "Marie Myriam".

9h30, mission accomplie
suis toute fière... à moi France Inter!

à suivre et à attendre (peut-être longtemps) : les images de l'émission.

mardi 15 juillet 2008

Laurent Storch sur la black list de mes concerts...

En concert, même si j'essaye de parler de moins en moins, (parce que je parle trop, c'est une évidence) je prends quand même toujours le temps d'annoncer une chanson qui s'appelle "dimanche 17 heures" et qui parle notamment de ce coup de cafard du dimanche soir, celui qui arrive instantanément lorsque le générique de Vidéo Gag se fait entendre à la télé. (chose qui ne m'arrivera plus désormais puisque depuis hier soir je n'ai plus de télé, mais c'est une autre histoire).
Je constate généralement que je ne suis pas la seule, à la vue de ces visages compatissants qui acquiescent en soupirant dans le public...
pour conclure, je finis généralement la présentation de cette chanson par : "Si TF1 décidait de déprogrammer vidéo gag, la france irait beaucoup mieux". (oui elle est sortie naturellement une fois... je l'ai gardée...)

et hier... que lis-je??? Une copine, affolée m'envoie ce lien et là... me-dites-pas-que-c'est-pas-possible!

Tf1 met en danger Sébastien Folin et Olivia Adriaco???

Laurent Storch, responsable des programmes, aurait-il entendu mon appel, mon cri de détresse durant un concert???

Alors je m'adresse à vous Laurent, (je peux vous appeler Laurent?...) si vous déprogrammez Vidéo Gag... vous foutez à l'eau ma meilleure intro de chanson en concert...

Après avoir gâché tous mes dimanches soirs depuis 28 ans (j'exagère à peine...), ce n'est que maintenant, alors que je n'ai plus de télé, et enfin trouvé un moyen de trouver un sens à cette émission, que vous décidez de l'enlever...
ce n'est pas joli joli et je ne vous remercie pas...

les Interviews de la semaine

ITW Web
http://someareontheway.over-blog.com : (je vous évite de scroller, vous seriez tombés sur les plasticines..)

Penses-tu que ta petite apparition à la Nouvelle Star ait changé des choses dans ta carrière ?
Je ne pense pas que cela soit déterminant. Si j'ai pu attiser la curiosité de certains et du coup les entrainer à découvrir mes chansons j'en suis ravie. Maintenant si mes chansons plaisent, je pense que peut importe d'où je viens, ou d'où je sors non?...

Des chansons sont régulièrement mises en ligne sur ta page Myspace, es-tu sur la préparation d'un album ?
C’est vrai que j'aime les mettre en ligne très rapidement car je suis curieuse de connaitre le ressenti des personnes sur myspace. J'écris des chansons un maximum, cela me permettra d'avoir le choix dans le cadre d'un enregistrement.

D'ailleurs tu viens de mettre en ligne une chanson : « Vincent ». Les paroles sont très intéressantes, beaucoup de jeux de mots autour de ce mot, mais qui est-il véritablement ce cher Vincent ?
Vincent est une personne suffisamment importante pour m'avoir inspiré une chanson... maintenant, il faut savoir qu'un plat de spaghetti peut m'inspirer... donc tout est relatif...et puis s'il s'était appelé Hercule, je ne garantis pas qu'il m'aurait inspiré autant. c'est avant tout le prénom qui m'a intéressé...

Tu t'accompagnes toujours de ton piano lors des concerts, as-tu pris des cours quand tu étais plus jeune ?
Oui, j'ai pris des cours de piano classique lorsque j'étais petite.


Tu reprends une chanson des Pretenders, pourquoi ce choix ?
Tout bêtement parce qu'un ami (william Rejault pour ne pas le citer) m'a dit : tiens... je te verrai bien chanter ça, il faut que tu essayes! Mais ce n'est pas forcément une chanson que je reprends en live pendant mes concerts. C’est une chanson pour "le plaisir"...


Tu tourne actuellement dans pas mal de salles autour de Paris ou Cannes, cela te permet-il de faire des rencontres avec des artistes ou des musiciens ?
J’ai beaucoup d'amis musiciens. Maintenant, est-ce que les concerts y sont pour quelque chose?, je ne sais pas trop, mais c'est surtout parce que j'évolue dans un milieu qui, forcément pullule de musiciens, ce qui n'est, je n’avoue absolument pas pour me déplaire. Alors on échange 2/3 accords et les liens se tissent vite.


Comment ta famille a réagit face à ton choix d'une carrière dans la musique ? Te sens-tu soutenue ?
Oui, très. Et par mes autres familles aussi... mes amis, mais aussi les personnes qui croient en moi et m'entourent. Et ça, ça n'a pas de prix! C’est juste le plus important


Peux-tu nous expliquer toute les significations de la chanson « Dimanche, 17 heure » ?
Ha non... toutes, je ne peux pas, ça appartient à ceux qui l'écoutent, on a tous nos propres ressentis face à ce blues du dimanche soir. D’ailleurs, certains ne l'ont même pas. Disons que pour moi le dimanche à 17h, c'est l'heure des bilans en tous genres... mais quand les bilans sont plutôt positifs, la fin de dimanche l'est aussi...


ITW Web
http://alexisandco.canalblog.com/archives/2008/07/07/9838960.html

ITW Webzine
http://cheeky-zine.com/zine/N1.pdf

ITW pour un magazine Toulousain (sortie Aout)

Tu commences à composer depuis que tu as eu en main une guitare en 2005. D'où t'es venu l'envie de passer de l'interprétation à la composition ?
il n'y a pas eu de "passage", car je ne suis jamais vraiment passée par la phase "interprétation". je chante uniquement parce que j'écris des chansons, et non l'inverse. j'avais ma voix sous la main, j'ai pas été cherché bien loin...je pense sincèrement que je n'aurai jamais envisagé de chanter si je n'écrivais pas des chansons.

Tu définis toi-même ton style comme du « vintage » ni tourné vers le passé, ni réac, donc tu aimes parler des situations de tous les jours dans lesquelles tout le monde peut se retrouver ?j'ai dis ça moi? ha oui... comme de "l'actuel vintage", oui je me souviens maintenant, c'est vrai. j'aime mélanger les influences de ce que le passé a laissé en tentant de l'actualiser. et c'est valable autant pour des sons que pour des valeurs ou des idées.je parle de ce que je vis, donc j'essaye de faire en sorte que cette vie soit riche en rebondissements et en émotion, histoire d'avoir de la matière...

Au sentier des halles, le 15 septembre 2007, tu as fait tes premières armes sur une scène parisienne, quelles ont été tes impressions ?
beaucoup d'amour. C'est ce qui m'a frappé le plus lors de ce premier concert. ça vous comble une femme ça!...

Préfères tu les concerts acoustiques ou aimes tu être entouré de tous tes musiciens ?
Je n'ai jamais vraiment eu un orchestre symphonique derrière moi, ou un mur de guitares électriques... donc même quand mes musiciens sont là, ça reste super acoustique.maintenant, être seule, c'est une autre ambiance, plus intime. je me sens plus nue, mais je ne suis pas pudique...musicalement parlant. donc ça ne me dérange pas.

Quels sont tes projets pour cette fin d'année ? As-tu un album en préparation ?
j'ai des projets à court terme, je suis encore incapable de parler de date de sortie d'album. il se prépare oui, depuis que j'ai écrit ma première chanson. Il prend forme chaque jour un peu plus. J'espère maintenant que le studio sera pour bientôt. je pense qu'il sera pour bientôt. oui.... il sera pour bientôt.


samedi 12 juillet 2008

Et l'album? c'est pour quand?

La question qui tue, celle que je m'entends demander une bonne dizaine de fois par jour, voir plus lorsque ma mère s'y met... et toujours cette éternelle réponse : "c'est pour bientôt... j'espère"
le truc génial avec le mot "bientôt" c'est qu'il est très large et que la fourchette de temps peut être celle d'un mini pouce ou de gargantua...
En toute honnêteté, je suis incapable de répondre à cette question tout simplement parce que moi-même je n'en ai aucune idée...
Dans la tête des gens, généralement, à partir du moment où il y a des chansons, ils ne comprennent pas pourquoi, on ne grave pas tout ça sur un cd, on y met une petite photo sympa et hop! l'affaire est dans le sac...
et bien ce n'est pas si simple. Alors pour que vous compreniez un peu les dessous de cette "matérialisation sur support physique ou numérique" je vous propose de suivre chaque étape, avec moi.
des créations aux pré-maquettes, des interviews aux clips, des soirs de concerts aux galères de la page blanche... bref, toutes les étapes qui me mèneront jusqu'au Graal.

Ce blog débute aujourd'hui, samedi 12 juillet. Il prendra fin à la sortie de l'album... autant vous dire qu'on va passer un long moment ensemble, car.... "c'est pour bientôt"